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Vie :

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Bourse :

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Description physique/Caractère :

Morty est petit, très petit, même pour une poiscaille il mesure 1m20 pour 30kg mais qu’est-ce qu’il parle…et qu’est-ce qu’il mange aussi ! Je pense que si je devais le décrire devant vous je parlerai d’un lutin qui a eu la malchance de naître Ta’aShal…oups bien sur je ne voulais rien dire de raciste ein ? Malchance moi ce que j’en dis c’est par rapport à lui ein ?! Ses traits principaux ? euuuuu il était chauve, peau couleur gris pâle sur tout son corps sauf sur son torse qui était banc immaculé et le bout de sa queue qui elle tendait vers le bleu…mais je dis était…pauvre petit…j’espère qu’il ne lui est rien arrivé ??? Il était si gentil, il ressentait la peine chez les gens et il les faisait allez mieux rien qu’avec sa joie de vivre, ce n’était pas quelqu’un de fondamentalement gentil, c’était quelqu’un de fondamentalement vivant… MessageSujet: Morty, le nabot Lun 22 Juin 2009 - 22:35 Répondre en citant Editer/Supprimer ce message Supprimer ce message Voir l'adresse IP du posteur + ---- - Morty Ta’aShal DESCRIPTION PHYSIQUE ET CARACTÈRE Morty est petit, très petit, même pour une poiscaille il mesure 1m20 pour 30kg mais qu’est-ce qu’il parle…et qu’est-ce qu’il mange aussi ! Je pense que si je devais le décrire devant vous je parlerai d’un lutin qui a eu la malchance de naître Ta’aShal…oups bien sur je ne voulais rien dire de raciste ein ? Malchance moi ce que j’en dis c’est par rapport à lui ein ?! Ses traits principaux ? euuuuu il était chauve, peau couleur gris pâle sur tout son corps sauf sur son torse qui était banc immaculé et le bout de sa queue qui elle tendait vers le bleu…mais je dis était…pauvre petit…j’espère qu’il ne lui est rien arrivé ??? Il était si gentil, il ressentait la peine chez les gens et il les faisait allez mieux rien qu’avec sa joie de vivre, ce n’était pas quelqu’un de fondamentalement gentil, c’était quelqu’un de fondamentalement vivant… HISTOIRE Ne t’inquiètes pas Moumoune, ton serveur est toujours en vie, en ce moment même il est entrain de se gaver de cuisses de poulet dans un bouiboui immonde de la rue des égorgeurs. Pour comprendre son départ il faut revenir un peu en arrière, Morty est alors un enfant…disons plus enfant que maintenant et ses parents le dépose dans un vaisseau qui part pour Aerethee avec une lettre glissée dans ses doigts palmés. Une lettre qui, plus tard, aura un rôle crucial dans la destiné de l’humanité : « Mange trop, crie trop, a détruit le tracteur de pépé, trop chiant on en veut pas, démerdez-vous avec » Le bébé abandonné est récupéré par un homme étrange, qui cache une tête squelettique derrière une capuche noire laissant juste dépassé deux lumières bleues acier semblant absorber les dernières lumières de cette fin de journée. L’homme saisit Morty, le renifle, pose une main gangrenée sur sa tête et ce simple contact déclenche de fortes bourrasques suivie d’une nuée d’étincelle puissante et tellement réelle qu’un éventuel spectateur aurait pu faire une connexion totalement anachronique avec les premiers films de Geroge Lucas. « Beurk ça pue, ça se mange pas » Voilà la première phrase qu’entendit Morty sur Aereethe, juste avant de se faire jeter en l’air par le mystérieux bonhomme et de retomber dans un cageot de légume tout frais destiné au restaurant pour lequel il travaillera ses 15 prochaines années…comme quoi les coïncidences… Morty a 16 ans aujourd’hui et quand il revoit sa vie devant son plat de poulet il se dit que c’est quand même dommage d’avoir du quitter Moumoune, mais bon, il a fait exploser la moitié du magasin…sans le faire exprès… juste parce qu’un client l’a traité de nabot, d’ailleurs il ne se souvient plus de grand-chose, tout ça est bien trop flou et bien trop épuisant…mais tellement exitant. A ce moment précis il senti quelque chose l’envahir, s’il eut été plus âgé Morty aurait trouvé une comparaison tout à fait adéquat à cette sensation pénétrante, mais Morty n'a pas encore appris ces aspects de la vie. SIGNES PARTICULIERS : A toujours faim, ne peut pas s’empêcher de parler, est extrêmement naïf.

Histoire :

Ne t’inquiètes pas Moumoune, ton serveur est toujours en vie, en ce moment même il est entrain de se gaver de cuisses de poulet dans un bouiboui immonde de la rue des égorgeurs. Pour comprendre son départ il faut revenir un peu en arrière, Morty est alors un enfant…disons plus enfant que maintenant et ses parents le dépose dans un vaisseau qui part pour Aerethee avec une lettre glissée dans ses doigts palmés. Une lettre qui, plus tard, aura un rôle crucial dans la destiné de l’humanité : « Mange trop, crie trop, a détruit le tracteur de pépé, trop chiant on en veut pas, démerdez-vous avec » Le bébé abandonné est récupéré par un homme étrange, qui cache une tête squelettique derrière une capuche noire laissant juste dépassé deux lumières bleues acier semblant absorber les dernières lumières de cette fin de journée. L’homme saisit Morty, le renifle, pose une main gangrenée sur sa tête et ce simple contact déclenche de fortes bourrasques suivie d’une nuée d’étincelle puissante et tellement réelle qu’un éventuel spectateur aurait pu faire une connexion totalement anachronique avec les premiers films de Geroge Lucas. « Beurk ça pue, ça se mange pas » Voilà la première phrase qu’entendit Morty sur Aereethe, juste avant de se faire jeter en l’air par le mystérieux bonhomme et de retomber dans un cageot de légume tout frais destiné au restaurant pour lequel il travaillera ses 15 prochaines années…comme quoi les coïncidences… Morty a 16 ans aujourd’hui et quand il revoit sa vie devant son plat de poulet il se dit que c’est quand même dommage d’avoir du quitter Moumoune, mais bon, il a fait exploser la moitié du magasin…sans le faire exprès… juste parce qu’un client l’a traité de nabot, d’ailleurs il ne se souvient plus de grand-chose, tout ça est bien trop flou et bien trop épuisant…mais tellement excitant. A ce moment précis il senti quelque chose l’envahir, s’il eut été plus âgé Morty aurait trouvé une comparaison tout à fait adéquat à cette sensation pénétrante, mais Morty n'a pas encore appris ces aspects de la vie.